Les moteurs de nos avions sont certifiés. Ça, nous le savons tous. Cela implique un certain nombre de contraintes quant aux opérations de maintenance, aux réparations éventuelles dues à une usure anormale ou relative à un incident (choc hélice, atterrissage train rentré, atterrissage dur ou autres). Il est hors de question d’intervenir sur nos moteurs dès lors que l’opération nécessite autre chose qu’un simple changement de pièce (cylindre, alternateur, démarreur, magnétos, etc.). Dès que l’on dépasse ce type d’opérations, il faudra s’adresser à des spécialistes ou au constructeur du moteur. C’est aussi le cas lorsque l’on atteint le nombre d’heures de fonctionnement prévu par le constructeur comme limite avant une révision complète. C’est ce que l’on appelle le TBO (Time Before Overhaul).
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